Pour un citadin, se déplacer à vélo constitue l’un des plus sûrs moyens d’avoir sa dose quotidienne d’activité physique… et de s’offrir ainsi une garantie santé
« La collectivité peut retirer des bénéfices non négligeables d’un report partiel du trafic motorisé sur le vélo. Sur le plan de la sécurité d’abord : en ville, toutes les études montrent que l’augmentation de la population cycliste dans la circulation routière a des effets bénéfiques sur la sécurité. Tout simplement parce que plus la présence des cyclistes est importante, plus les automobilistes sont incités à lever le pied. Loin d’être le danger que l’on prétend, elle contribue à l’apaisement du trafic »
Le vélo est le moyen de transport le plus rapide en ville. Dès que la distance à parcourir est comprise entre 1 et 5 km, le vélo est imbattable.
Finis les embouteillages et les énervements dès le matin. Surtout qu’aux problèmes de circulation s’ajoutent ceux du stationnement.
Le développement du vélo dans la circulation a également l’avantage de contribuer à la réduction de la pollution atmosphérique et du bruit. Certaines grandes villes européennes, qui ont développé depuis des années une politique résolument « cyclable », s’en portent fort bien…